Samedi noir | ||
Date | ||
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Lieu | Beyrouth, ![]() |
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Victimes | Palestiniens et Druzes | |
Morts | +200 | |
Auteurs | Joseph Saade | |
Ordonné par | Phalanges libanaises | |
Motif | Vengeance personnelle | |
Guerre | Guerre du Liban | |
Coordonnées | 33° 44′ 00″ nord, 35° 27′ 00″ est | |
Géolocalisation sur la carte : Liban
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Le samedi noir (en arabe : السبت الأسود) est le massacre d'environ 300 musulmans et druzes libanais à Beyrouth par des phalangistes le samedi , au début de la guerre civile libanaise[1],[2],[3]. Il crée un précédent pour les massacres ultérieurs telles que la bataille des hôtels, le massacre de Karantina et le massacre de Damour[3].
Les meurtres sont dirigés par Joseph Saade, un phalangiste dont le fils a été tué à Fanar plus tôt dans la journée, lorsque quatre jeunes phalangistes chrétiens sont assassinés par des membres du Fatah sur la route de Fanar au Liban[4].
Le massacre embrase Beyrouth et accélère la guerre civile[1].